faites vos courses
j'ai perdu mes pierresj'ai perdu marie
froncer les eaux
baigner les yeux
mourant d'ennuie
je mache la neige
je
répliqua le ciel
un peu bègue
elle est beige
tuer la vie
cria la nuit
la gare se vide dans un son sans teins
le rythme s’éteins dans un souffle sans fond
le son reviens nos corps s'en vont
revis, reviens
mon corps, mon coeur
sauter encore
faites vos courses
tues moi encore
je souhaite la mort
c'est la fin
je dis bien
c'est le rythme sans teins
écoutes ce souffle qui s'éteins
c'est l'aller
sans reviens
je teins la rose
morose
plus rose
on nous impose
d'écrire en prose
l'allure morose
le vent soufflant sera persistant
quel est la cause ?
de l'air ?
la terre ?
le vent, les vices ?
oh marie
l'air sur les lisières
où sont mes pierres ?
la gare se vide dans un son sans teins
le rythme s’éteins dans un souffle sans fond
le son reviens nos corps s'en vont
revis, reviens
mon corps, mon coeur
sauter encore
faites vos courses
tues moi encore
je souhaite la mort
c'est la fin
je dis bien
c'est le rythme sans teins
écoutes ce souffle qui s'éteins
c'est l'aller
sans reviens
cil bleu
un cil bleuune paupière rose
c'est pas grand chose
c'est d'la prose
admires la plaine, elle est si belle
revois dans le ciel ces ailes
s'en est trop d'elle, trop de sels
ses voyelles sont/sonnent mortelles
merveilleuse fleur que tu es
comme je suis désolé
bande de salo vous l'avez frappée
et moi qui me laisse aller
carambolage dans un bouquet
de fleurs sombres et fanées
suivre les lignes blanches, taré
j'en ai assez
(merveilleuse fleur que tu es comme je suis désolé)
t'es qu'un vulgaire poète qui se concentre sur ces sons
ces mots d'amour qui font naitre et paraitre le fond
je me suis en aller
dans un brin d'été
je me suis vu pleurer mon coeur
j'ai pensé que c'était les leurs
un cil bleu
une paupière rose
mini cooper bleu nuit
la mini cooper bleu nuit est blancheavalanche sur les sièges
ton corps blanc est blême qui glisse
mon âme et t-shirt plus si blanc
c'est troublant
un adoucissant en guise de crème
un semblant de poème
c'est si dur sur fond blême
c'est un coin du lit
je t'ai suivi dans la nuit
c'est si dur
c'est qu'un quart
c'est du vent
prends mon temps
c'est troublant le temps
c'est troublant ce blanc
c'est troublant ce blème
chevalier noir rencontre chevalier blanc
le chevalier noir porte secours chevalier blanc
le chevalier blanc est essoufflé et peiné
le chevalier noir rencontre un nouvel aimé
le chevalier blanc dépense tout son argent
le chevalier noir est au bord de l'accident
le chevalier blanc trace un court chemin
le chevalier noir perds un demi rein
le chevalier blanc poursuit sans frein
le chevalier noir est quasi déteins
la mini cooper bleu nuit est blanche
avalanche sur les sièges
ton corps blanc est blême qui glisse
mon âme et t-shirt plus si blanc
c'est troublant
un adoucissant en guise de crème
un semblant de poème
an 2000
lancinant, lent c'est chiantlancinant tendrement
chaque instant, lancé franc
l'an 2000 perds du style
(l’an 2000 tu repenses et danse
l'an 2000 ah la douce france
l'an 2000 c'est l'abondance
l'an 2000 premier pas de danse
l'an 2000 légère arrogance
l'an 2000 un doux silence
l'an 2000 on s'ambiance)
ma douce ténébreuse
en 2002 tu avais tes yeux
(mais) le nucléaire me tape sur les nerfs
je reçois que des glaires
mais où est donc cette couleur lavande ?
c'est à ne rien y comprendre
mais où est donc cette couleur lavande ?
c'est à rien y comprendre
autour de moi que des cendres
un parfum ambré
viens la remplacer
et me saigner le nez
l'an 2000 c'était bien la fin d'la rime la fin du monde, la fin du temps
repenses lancinant
l'an 2000 c'était avant
lancinant autrement
vivre/hivre chaque instant c'était avant
lancinant autrement
revis reviens
revisreviens
mon corps
ton corps
reviens
revis
reviens
ton corps
mon corps
reprends
encore
reviens
revis
reviens
ton corps
mon corps
reviens
reprends
encore
mon coeur
revis
reviens
encore
mon coeur
reprends
encore
mon coeur
ton corps
reviens
(reviens)
j’ai perdu mes pierres
j’ai perdu marie
poncer les eaux
baigner les yeux
macher la neige
répliqua le ciel
revis
reviens
mon corps
ton corps
reviens
revis
reviens
ton corps
mon corps
reprends
encore
revis
reviens
revis
reviens
mon corps
ton corps
reviens
(reviens)
y'a du progrès dans l'air
y'a des substances dans nos sens
plus tu bois
plus t'avance
plus tu penses et relances
on s'ambiance
c'est comme si
c'est comme ça
dans mes bras
première gauche sur fond droit
arrêtes toi
trop de lignes blanches
trop de trop de lignes blanches
arrêtes toi ma beauté nommée c
trop de lignes blanches
lignes lignes lignes blanches
arrêtes toi ma beauté nommée c
stupide stupide
dans ce bar on s'est blottita tête sur mon épaule
tes larmes baignées dans mes paroles
ma bagnole n'a de sens qu'une fois dépoli
comme le plus beau jour de ma vie
il fut ainsi
dans le vacarme des 2/3 larmes
"stupide, stupide" j'ai mal au ventre
arrêtes toi sur le bas coté
plus à coté encore
amer est la mer il disait
des chaussures en feux lorsqu'il pleuvait
il y a trop de "est" dans ce monde
je veux moins de je, un peu plus de toi
plus aucune loi dans ce jeux
et le ciel bégaye
je te hais, je m'en vais
faites vos courses
j'ai perdu mes pierresj'ai perdu marie
froncer les eaux
baigner les yeux
mourant d'ennuie
je mache la neige
je
répliqua le ciel
un peu bègue
elle est beige
tuer la vie
cria la nuit
la gare se vide dans un son sans teins
le rythme s’éteins dans un souffle sans fond
le son reviens nos corps s'en vont
revis, reviens
mon corps, mon coeur
sauter encore
faites vos courses
tues moi encore
je souhaite la mort
c'est la fin
je dis bien
c'est le rythme sans teins
écoutes ce souffle qui s'éteins
c'est l'aller
sans reviens
je teins la rose
morose
plus rose
on nous impose
d'écrire en prose
l'allure morose
le vent soufflant sera persistant
quel est la cause ?
de l'air ?
la terre ?
le vent, les vices ?
oh marie
l'air sur les lisières
où sont mes pierres ?
la gare se vide dans un son sans teins
le rythme s’éteins dans un souffle sans fond
le son reviens nos corps s'en vont
revis, reviens
mon corps, mon coeur
sauter encore
faites vos courses
tues moi encore
je souhaite la mort
c'est la fin
je dis bien
c'est le rythme sans teins
écoutes ce souffle qui s'éteins
c'est l'aller
sans reviens